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Rucher du Viala

4.2
(17)

Bienvenue:

Mon histoire commence en 2009 lorsque j’achète une maison dans la commune de Saint-Martial, située dans le parc national des Cévennes. Je m’aperçois que mon terrain est jonché de châtaigniers. C’est alors que me vient l’idée de faire du miel de châtaignier. Ma première ruche voit le jour la même année. À l’heure actuelle, elles sont au nombre de 30. Je les déplace régulièrement pour que les abeilles puissent butiner différentes plantes (du thym, de la bruyère, de la lavande, etc.). Je travaille seul. Mon exploitation n’est pas très grande, mais cela me permet de bien m’occuper de mes abeilles et de faire des produits de qualité. Pour moi, l’apiculture est avant tout une passion. J’ai débuté mon activité pour le plaisir. La vente de miel n’était pas ma priorité. Au fil du temps, les demandes se sont multipliées. C’est à ce moment que j’ai décidé de développer davantage mon activité.

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Tout sur la ferme

Lorsque l’heure de la récolte sonne, j’enfume les ruches avec un enfumoir. Les abeilles pensent alors qu’il y a le feu (je simule le feu de la forêt). Je retire la hausse avant de transférer les abeilles qui se trouvent dessus sur une autre. Une fois les cadres récupérés, il faut les désoperculer. Cette étape terminée, je mets les cadres dans l’extracteur électrique qui extrait le miel. Le produit (le miel) est ensuite filtré grâce à une passoire à double filtre. Le but étant de retirer tous les déchets (opercules, abeilles décédées, etc). Le miel est alors versé dans un maturateur. Les bulles et autres impuretés remontent à la surface en une semaine. À ce moment, il me faut attendre cinq jours avant de remplir les pots de miel. Et oui, le métier d’apiculteur est loin d’être de tout repos !

J’aime mon métier et mes abeilles. Je les respecte elles, ainsi que leur travail. De nombreux apiculteurs tuent la reine lorsque celle-ci vieillit et ne dégage plus assez de phéromones. Ce n’est pas ma philosophie. Lorsque la reine n’est plus assez productive, je préfère l’installer dans une autre ruche avec une partie de ses congénères. Il est vrai qu’en faisant cela, je perds en productivité, mais le respect de mes apoïdes est quelque chose de très important pour moi. Mon miel artisanal est conçu avec amour et considération.

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Une réponse

  1. Bonjour,
    Je suis tombée sur votre site par hasard et j’ai été agréablement surprise de lire que vous ne tuez pas les reines mais vous les mettez pour ainsi dire dans une maison de retraite. Vous respectez ainsi le travail qu’elles font, vous êtes remarquable.
    Je suis moi aussi apicultrice depuis 18 ans et mes ruches étaient dans le Massif des maures, heureusement j’ai déménagée mes ruches avant l’incendie qui a ravagé le Massif des Maures. Mon terrain était entouré de chataigniers, de pins et de chêne. Sur place : eau, lavandin, genets, cistes, arbousiers, iris, thym, romarin, orchidaes, etc. toute l’année. L’incendie a détruit la faune et la flore, Heureusement la nature reprend ses droits et les fleurs repoussent à nouveau.
    Je voulais juste vous poser une question : est-ce que vous traitez vos ruches contre les varroas ?
    Cordialement,
    Andrée Garcia

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